Pour la troisième année de suite, me voilà sur les routes de Grèce. J’ai pris l’avion de Bâle à Thessalonique et de là je commence à pédaler vers l’Est. C’est la fin de l’hiver et il fait encore bien froid dans ces contrées. D’ailleurs, j’observe des montagnes bien enneigées vers le Nord (en Bulgarie toute proche) mais aussi vers le Sud (île de Samothrace).
J’observe de très nombreux bâtiments, commerces, maisons, stations-service désaffectés ou dont la construction n’est pas terminée, la crise économique n’est pas une vue de l’esprit, mais je ne ressens aucune insécurité.
J’ai pu observer de nombreux arbres en fleurs (amandiers je suppose), des champs de coton (j’ignorais que c’était cultivé ici), des cigognes et, en traversant un parc national, des flamants roses, des pélicans et bien d’autres oiseaux.
En arrivant dans un hôtel vers 15h, le patron m’offre une copieuse collation (avec même un verre d’eau de vie) ; le matin, dans mon précédent hébergement, on m’avait offert des fruits. Cela donne du baume au cœur.
À l’approche de la Turquie, je commence à voir des minarets dans les villes/villages.
À Thessalonique, je retourne loger chez Vicky.
Une belle façade.
Un lion de 24 siècles.
Un bâtiment abandonné, parmi tant d’autres.
Un mur bien décoré.
Neige sur l’île de Samothrace.